Thierry Escaich

  • Orgue

  • 32$

  • Salle

    Raoul-Jobin

Présenté par

Les amis de lorgue

 

Compositeur, organiste et improvisateur, Thierry Escaich est une figure unique de la scène musicale contemporaine et l’un des représentants majeurs de la nouvelle génération de compositeurs français. L’orgue tient une place prépondérante dans sa musique, autant en tant que compositeur qu’interprète, il aime dans ses concerts mêler ses propres œuvres à celles d’autres compositeurs et les relier par des improvisations.

Son écriture trouve sa source aussi bien dans le plain-chant grégorien que chez Brahms, Bartók ou Messiaen. Son catalogue comporte près d’une centaine d’œuvres récompensées par de nombreux prix internationaux.

Pour résumer sa réputation, voici ce qu’André Isoir, de Classica, dit de lui : «Quant à Thierry Escaich, c’est le MUSICIEN PARFAIT.»

Jugez-en par vous-même en lisant la liste de ses nombreux succès :

Il commence ses études musicales au Conservatoire de Rosny-sous-Bois et les achève au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris en 1992. Il y a obtenu les Premiers Prix d’harmonie, de contrepoint, de fugue, d’orgue, d’improvisation à l’orgue, d’analyse, de composition et d’orchestration.

En 1989, il reçoit le Premier Prix du concours André Jolivet,. En 1990, il est gratifié du Prix de la Fondation franco-américaine Florence Blumenthal. En 1991, il remporte le Premier Prix d’improvisation au Concours international de Strasbourg. En1994, le Prix Nadia et Lili Boulanger lui est remis, la même année il est gratifié du Prix de musique symphonique de la SACEM. En 1993, la SACEM lui décerne Prix Hervé Dugardin. En 2002, il gagne le Grand Prix lycéen des compositeurs. En 2003 et en 2006, il est « compositeur de l’année » aux Victoires de la musique classique. En 2004, il est gratifié du grand Prix de la musique symphonique de la SACEM.

Et ce n’est pas tout ! Il est nommé professeur au Conservatoire supérieur de Paris en octobre 1992. En 1997, il est nommé à la tribune du grand-orgue de l’église Saint-Étienne-du-Mont à Paris où il succède à Maurice Duruflé.

Ses enregistrements discographiques sont récompensés en 1995 par le Grand Prix de la Nouvelle Académie du Disque. En 1999, il reçoit le Prix Georges Enesco.