6 raisons d’aimer les Lost Fingers

21 novembre 2019

Catégorie Le Journal de Nicolas Houle
Types Portrait
Écrit par : Francis Patenaude

6 raisons d’aimer les Lost Fingers

Basé à Québec, le groupe The Lost Fingers trace fièrement sa route sur la scène internationale. Depuis la réunion de Byron Mikaloff, Christian Roberge et Alex Morissette en 2006, la formation ne cesse de briller, notamment grâce à son dynamique jazz manouche et à ses mises en scène éclatées.

Le 30 novembre 2019, le quatuor convie le public à monter à bord de la Caravane des Fêtes au Palais Montcalm, soirée à laquelle le virtuose multi-instrumentiste John Jorgenson se joindra.

Impossible de rester insensible à pareille invitation! Voici pourquoi :

 

1) La chanteuse Rosalie Roberge a joint la troupe en 2019

Sœur de Vincent Roberge (Les Louanges), Rosalie a été repérée par Byron Mikaloff avant même de terminer sa formation en Techniques professionnelles de musique et de chanson au Cégep de Saint-Laurent. Les autres membres des Lost Fingers parlent d’un véritable « coup de cœur ».

Révélée au grand public dans le cadre de l’émission La Voix 2019, elle occupe désormais le siège laissé vacant par le départ de la chanteuse Valérie Amyot. Sa voix puissante et son regard électrisant ont tout pour charmer les foules.

 

2) John Jorgenson, un invité de marque

La contribution de ce virtuose est non-négligeable : il enrichit les sonorités des Lost Fingers grâce à ses talents à la guitare, au saxophone, à la clarinette, au bouzouki, à l’orgue, à la mandoline et au chant. Depuis 2014, il réalise les albums du groupe et participe à la présentation de certains spectacles.

Jorgenson a tourné ou enregistré avec les Elton John, Bob Dylan, Johnny Cash, Barbra Streisand et autres Luciano Pavarotti.

 

3) Un solide répertoire pour les Fêtes

Pour leur premier album de Noël, Christmas Caravan (2016), les Lost Fingers ont mis sur pied un répertoire aux sonorités internationales, clamant recomposer les classiques plutôt que de les arranger. À cet opus s’ajoutent les surprenants Coconut Christmas (2017) et Worldwide Christmas (2018).

Le 30 novembre, ils promettent un voyage à travers les styles musicaux, comme la pop, le reggae, le klezmer et, bien entendu, le jazz manouche. Ce sera la fête dans la salle Raoul-Jobin!

 

4) Une signature forte et unique

Les Lost Fingers soignent leur apparence et détonnent dans le milieu artistique. Certaines des tenues sont signées Denis Gagnon, alors que leurs souliers sont des produits 100 % québécois.

Il ne faut pas perdre de vue que les membres des Lost Fingers ont la fibre entrepreneuriale, puisqu’ils gèrent eux-mêmes cette petite entreprise et prennent leurs propres décisions d’affaires.

 

5) Un ensemble au rayonnement international

Rares sont les ensembles québécois qui peuvent se faire entendre dans des publicités de bière… en Espagne! La musique des Lost Fingers a fait le tour du monde et est reprise par de nombreux groupes amateurs. Cela plaît aux membres des Lost, qui voient leur travail devenir une source d’inspiration.

 

6) Une heureuse folie

La viralité n’a pas épargné les Lost Fingers. Leur plus récent coup d’éclat : jouer le Vol du bourdon de Rimski-Korsakov au milieu des ruches. Certains portaient des shorts et tous étaient habillés en noir, couleur qui peut rendre les abeilles agressives. Un pari risqué, mais réussi!

 

Le 25 septembre 2019 au Palais Montcalm, Nicolas Houle a reçu les quatre complices dans le cadre d’une rencontre Paroles et Musique, permettant au public de revisiter le parcours de la formation et d’assister à quelques prestations musicales.

Le groupe The Lost Fingers est aujourd’hui formé de Byron Mikaloff (guitare et voix), Alex Morissette (contrebasse), François Rioux (guitare) et Rosalie Roberge (chant).

 

THE LOST FINGERS ET JOHN JORGENSON
La Caravane des Fêtes

Samedi 30 novembre 2019 • 20 h
Salle Raoul-Jobin du Palais Montcalm

Détails et billets

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